Dans l’industrie, la 3D s’est imposée dans les méthodes de travail : du bureau d’études, au suivi de projet, à la maintenance et même au marketing, les données 3D sont présentes à tous les étages. Très souvent, ces données sont exploitées par tous les services grâce aux logiciels de conception qui ont permis de les créer. Et les licences de ces logiciels ont un coût significatif. C’est normal de part la leur nature. Mais sont-ils nécessaires pour les personnes qui ne conçoivent pas de données CAD ? Dès lors, voyons ensemble quelles sont les solutions pour équilibrer la rentabilité de ces outils et de ces utilisations ?
1 – Réserver ces licences aux bureaux d’études
Il est évident que tous les métiers qui ont attrait à la conception du produit ou qui font partie intégrante du bureau d’études ont forcément besoin d’un logiciel de CAO. Pour cette population, vous devez les conserver. Par contre, pour de nombreux métiers qui gravitent autour, comme par exemple les rédacteurs techniques, il peut être préférable de repenser l’attribution de ces licences.
Pour cela, n’hésitez pas à interroger tous les utilisateurs(hors bureau d’études) sur la façon dont ils utilisent le logiciel. Vous constaterez qu’ils sont nombreux à se servir de ces logiciels pour effectuer majoritairement des tâches de visualisation et d’analyse, voire simplement d’exports.
La complexité de ces logiciels empêchent une bonne maîtrise par des non-initiés. La réalisation de tâches dites simples peut alors prendre beaucoup plus de temps que prévu du fait du logiciel. Dans certains cas, il arrive même qu’il soit nécessaire de mobiliser deux personnes (l’expert CAO et le rédacteur technique par exemple) pour réaliser une seule tâche.
Il ne faut également pas ignorer que ces logiciels sont extrêmement gourmands en ressources et qu’il faut leur allouer une machine informatique puissante et coûteuse.
2 – Privilégier des licences de viewer 3D aux logiciels de conception pour certains métiers
Attention, toutefois : les fonctionnalités et la capacité d’imports et d’exports de formats de fichiers varient selon leur éditeur et sont souvent adaptés à une utilisation particulière.
A chacun de choisir le logiciel qui convient le mieux à son activité.
Ainsi, avec un viewer 3D adapté, tous les différents métiers de l’entreprise sont autonomes pour la récupération des données (Le bureau d’étude n’est plus sollicité pour ces tâches) et chacun se concentre sur son métier.
Côté finances:
Ce ne sera pas une surprise : le prix des licences est bien moins élevé que celle des logiciels de conception. On peut même dire que c’est…incomparable.
Le montant des investissements en informatique se trouve également réduit : ces outils demandent moins de ressources qu’un logiciel de CAO. Il ne sera alors pas nécessaire d’investir dans les plus grosses puissances de calcul. Pour exemple, 3D Juump Ace fonctionne sur un ordinateur bureautique standard.
3 – Et enfin, ne pas hésiter à souscrire à des abonnements sur les différents stores en ligne
Aujourd’hui, il existe différentes stores qui proposent des abonnements en fonction des besoins. Vous n’êtes plus obligés de vous engager annuellement. Ces formules sont très intéressantes pour des projets occasionnels. Vous arrêtez votre abonnement dès la fin de votre projet. Vous pouvez ainsi gérer votre budget car vous êtes libre de mettre fin à votre abonnement à tout moment.
Pour aller plus loin, n’hésitez pas à découvrir notre viewer 3D : 3D Juump Ace, une version gratuite est disponible. 3D Juump Ace est aussi disponible sans engagement sur la plateforme Microsoft Store.
Pour en savoir plus https://www.realfusio.com/fr/3d-juump-ace/