Quelle est votre activité ?
On produit des documentations de maintenance et des catalogues de pièces de rechange pour différents secteurs: aéronautique,
défense, industrie…
A quoi vous sert un viewer 3D ?
Nous avions une problématique, c’est que chaque client a des outils de CAO différents en données d’entrée.
Généralement, on a le choix: on récupère une arborescence ou un extrait complet de la liasse et associé à ça, on a le modèle 3D.
On récupère le natif, et on a plutôt tendance à le convertir par un format pivot, qui est le format STEP.
Comment utilisez-vous 3D Juump Ace?
3D Juump Ace va nous permettre de faire les études de maintenabilité. Donc vérifier comment on démonte un équipement ou un sous-équipement,
ou les éléments nécessaires, etc. Et le logiciel va nous permettre de définir les catalogues de rechanges et de produire nos éclatés pour,
ensuite les exporter vers ISO Draw pour l’habillage de l’illustration finale.
Quel est son intérêt ?
L’intérêt est de visualiser en 3D et de naviguer dans le 3D. Et c’est surtout qu’on s’affranchit de l’utilisation spécifique d’outils en fonction des clients. On a un seul outil, on a la méthode de travail, qui est définie.
Et les gens qui nous font la production savent comment l’utiliser et maîtrisent complètement toutes les fonctionnalités de l’outil. On l’utilise quasiment tous les jours sur de l’activité Tech PUB et tech data.
Le point fort, c’est l’allégement de la maquette numérique.
Quels sont ses points forts ?
Le point fort, c’est l’allégement de la maquette numérique. On a une maquette numérique dont le poids se divise par dix. Donc en terme de visualisation de l’utilisation du 3D, c’est beaucoup plus souple.
Le coût de la licence est intéressant, forcément, puisque derrière ça impacte complètement les prix de vente.
Et puis la facilité d’utilisation. Il n’y a pas besoin de faire une formation CATIA d’une journée pour comprendre comment tout ça fonctionne. Et l’IHM de l’outil est très simple.